Mh ... joli ... je ne dirais pas ça ; changer son jeu suite à une première puis à une seconde blessure, à la cheville, de son adversaire, afin de la faire courir le plus possible en renvoyant constamment la balle de gauche à droite et inversement, ce n'est pas digne d'une "grande championne". Azarenka est dorénavant sur ma liste noire, et je partage l'avis de cette partie du public de Melbourne qui, au lieu de l'acclamer, l'ont sifflée ...